Aristocrates du dividende : limitation du montant investi.
Bonjour,
Je n’ai pas renforcé le portefeuille cette semaine.
Dans mon plan, tant que le CAC est en dessous de -25 %, j’investis chaque semaine la moitié de mon investissement mensuel en renforcement sur une ligne du portefeuille.
Mais comme le dernier renforcement était sur une valeur US, j’ai doublé la mise pour éviter de cumuler les frais (8,5 Euros sur bourse direct).
Je vais donc attendre le début de la semaine prochaine pour consolider une nouvelle ligne, jusqu’à épuisement de la trésorerie disponible.
Je me rends compte par ailleurs que ma règle d’alimentation sur la ligne offrant le meilleur rendement du moment peut aboutir à une situation de déséquilibre dans certaine configuration.
Même en m’interdisant d’alimenter 2 fois de suite un même titre, une ligne comme Unibail par exemple qui a baissé de 70 % me pose problème.
Aujourd’hui cette ligne en terme de valorisation représente 1% du portefeuille.
Je devrais donc en théorie la renforcer pour atteindre mes 1,25 %.
Mais si on regarde du côté du montant déjà investi sur ce titre, la somme placée est de 4850 euros soit déjà 3,6 % du portefeuille.
Jusqu’à présent, cela avait bien fonctionné car l’action finissait par remonter et je n’avais pas à la renforcer éternellement.
Mais dans ce cas de figure, j’ai l’impression d’avoir en face de moi un puits sans fond.
Je veux que ma ligne ne représente que 1,25 % du portefeuille mais les baissent successives m’obligent à placer davantage sur cette ligne en déclin.
Et d’un autre côté, chaque renforcement abaisse mon PRU et augmente mon rendement (sauf si la société diminue ou coupe son dividende ce qui est le cas de URW).
Pour limiter ce problème, J’ai donc ajouté une règle de gestion à mon portefeuille.
Je peux renforcer une ligne à hauteur de 1,25 % de la valorisation du portefeuille à condition que le montant investi sur la ligne ne représente pas plus de 2 % du montant apporté au portefeuille.
De cette manière, il sera toujours possible de renforcer en cas de baisse mais jamais au delà d’une certaine limite.
Dans le pire des cas, c’est à dire en cas de faillite de l’entreprise, la perte serait donc au minimisée.